THE CATS NEVER SLEEP - Juin 2017

Comment est né The Cats Never Sleep ?
D'une envie irrépressible d'occuper mieux nos dimanches.

Pourquoi ce nom ?
C'est un clin d'oeil à une vieille chanson de Mama Rosin. On avait pas vraiment de nom et on avait reçu une demande de concert, une décision devait donc être prise dans la foulée.

Quels sont les artistes qui vous ont donnés envie de débuter la musique ? 
Mmmh on a tous commencé la musique séparément, mais à l'époque de la formation du groupe on écoutait beaucoup Tame Impala, Thee Oh Sees et John Lee Hooker.

Pourquoi avoir pris le nom de Massage pour votre premier album ? 
Nous avons choisi ce titre car l'album a été conçu dans l'idée d'être la bande-son d'un spa futuriste. C'était en tout cas le mot d'ordre donné pour aller chercher des sons assez "fluides". Après plusieurs essais, "Massage" semblait être le terme le plus concis et abouti.

Ce premier LP est impressionnant. Vous mélangez le rock, le garage, la pop, l'électronique... C'est du coup difficile de vous demander de définir votre style ? 
Merci du compliment. On a trop d'envies différentes pour se limiter à un style, mais on le définit volontiers! Après une bonne période qu'on pourrait qualifier d'Astral Groove, nous sommes désormais passé à l'Afro Prog Germano-Pop. La suite sera encore plus étrange.

Durant le clip de Wide Open vous êtes en train de danser devant le match Brésil - Argentine 1982. Pourquoi ce match en particulier pour illustrer le clip ? 
Nous sommes très sensible au football dans son aspect populaire et universel, loin de la face bling-bling actuelle avec ses coiffures sans foi ni loi et ses magouilles incessantes. L'équipe du Brésil de cette époque là représente pour nous un genre d'idéal. De plus, l'album de Sergio Mendes et Pelé est un grand disque.

Comment êtes vous arrivés sur le Pop Club Records ?
Nous avions eu la chance de rencontrer Alex Kacimi auparavant à travers divers projets et nous lui avons soumis notre disque qu'il a décidé de soutenir et sortir car c'est un homme grand et juste.

Votre album a été enregistré en Bretagne au Studio Kerwax. Pourquoi ce choix ?
La montagne de matériel analogue et vintage de Kerwax fut la raison première de notre venue. De plus, l'endroit est superbe, l'acousitque magnifique et le cadre bucolique qu'offre le village de Loguivy-Plougras nous semblait parfait pour nous permettre d'enregistrer le disque avec le mojo nécessaire. 
 
Un scoop pour Rockfanch ? 
Un des membres du groupe est actuellement en train de négocier un contrat avec un grand club de foot, mais nous ne pouvons rien dire de plus pour le moment sans compromettre le deal.

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